Martin Francoeur: relancer l’économie par une croissance verte

« Sur le terrain, j’entends beaucoup parler d’environnement et de pénurie de main-d’œuvre. Je sens que la population a besoin qu’on s’occupe d’elle », mentionne d’emblée Martin Francoeur, candidat du Parti libéral du Canada (PLC) dans la circonscription de Trois-Rivières.

En matière d’environnement, le candidat libéral s’est engagé à consolider la place de Trois-Rivières comme pôle canadien de l’innovation et de la recherche en matière d’hydrogène. Par ailleurs, à ses yeux, la relance post-pandémique passe par une économie plus verte.

« La pandémie nous a amenés dans une situation hors de la normalité. Il faut prendre le temps de rebâtir et je pense que le Parti libéral a pris les bonnes actions pour aider les Canadiens. Maintenant, il faut rebâtir notre économie et ça passe par une croissance verte », affirme M. Francoeur.

Dans les projets d’envergure de la ville, il mentionne l’importance de soutenir le Port de Trois-Rivières dans son développement, entre autres le projet de Waterfront, et de s’assurer que le projet de train à grande fréquence suive son cours tel que prévu avec un passage à Trois-Rivières.

Rebâtir le lien de confiance

Depuis le début de la campagne électorale, le candidat libéral est allé à la rencontre de dizaines d’organismes et organisations du territoire pour en apprendre plus sur leurs besoins. Sa visite auprès des responsables de la popote roulante l’a particulièrement marqué.

« J’ai particulièrement été marqué par mon avant-midi de livraison avec la popote roulante. J’ai vu des gens isolés qui vivent dans des conditions difficiles, confie-t-il. Leur enjeu à eux, c’est de trouver l’argent nécessaire pour finir le mois. Si je suis élu, je veux immédiatement retourner voir ces organismes pour déterminer comment je peux les aider avec une équipe autour de moi. Il faut que Trois-Rivières reçoive sa juste part et faire en sorte que l’argent du fédéral descende à Trois-Rivières. »

« J’ai la volonté de donner une voix forte aux Trifluviens à Ottawa. Ce n’est pas normal que les gens de Trois-Rivières n’aient pas accès à un député disponible et qu’ils doivent aller cogner à la porte de la circonscription voisine. »

En ce sens, Martin Francoeur souligne qu’il y a sans doute un lien de confiance à rebâtir entre la population et la fonction de député. « Je considère que la porte du bureau d’un député doit toujours être ouverte. Le rôle d’un député fédéral est d’être là pour la communauté, mais je pense que ce lien est rompu aujourd’hui », indique celui qui a notamment travaillé comme journaliste et éditorialiste au quotidien Le Nouvelliste.

Autres engagements

  • Accompagner la Ville de Trois-Rivières dans ses démarches auprès de Transport Canada pour limiter la vitesse sur la rivière Saint-Maurice
  • Accompagner les dirigeants du Port de Trois-Rivières dans tout projet qui visera à souligner de façon significative l’importance des peuples des Premières Nations
  • Mieux protéger les vestiges du Lieu historique national des Forges-du-Saint-Maurice
  • Soutenir les victimes de la pyrrhotite