Le défi Une moustache pour mon CH fracasse un record
La 9e édition du défi Une moustache pour mon CH a permis d’amasser 78 260,35 $. Il s’agit d’un record et ce n’est pas terminé, car des sommes supplémentaires restent à être confirmées.
Présentée par le Fonds Gilles-Rousseau de la Fondation régionale pour la santé de Trois-Rivières (RSTR), cette 9e édition s’est conclue le 30 novembre. Pendant tout le mois de novembre, 24 hommes de notre région ont laissé pousser leur moustache pour récolter des fonds afin de contribuer à la prévention, au traitement et à la guérison des cancers masculins.
Cette édition a bénéficié de la présence de partenaires qui ont su donner l’élan à ce mois complet dédié à la santé des hommes de chez nous : les ambassadeurs Éric Bélanger (entraîneur-chef des Lions de Trois-Rivières et ancien joueur de la LNH) et Mathieu Maltais (directeur des planificateurs financiers à la Banque Nationale du Canada région Mauricie-Centre-du-Québec et membre du conseil d’administration de la Fondation RSTR), de même que le porte-parole David Nollet (directeur créativité média et promotions au 106,9 Mauricie et Rythme 100.1), en rémission d’un cancer masculin.
En plus d’inviter les hommes à ranger leur rasoir dans le tiroir, la Fondation RSTR a donné une nouvelle ampleur au défi grâce à l’appui des Lions de Trois-Rivières qui ont consacré leur match du 6 novembre dernier à la cause, en plus d’y verser 35 % du prix des billets achetés dans les sections réservées pour l’occasion.
De plus, Le Temps d’une pinte a brassé spécialement pour l’occasion la Pinch, une bière rousse d’inspiration irlandaise dont une partie des profits est remise directement au Fonds Gilles-Rousseau. Les propriétaires de cette institution nous ont également ouvert les portes de leur pub pour le lancement du défi et pour l’événement de clôture.
Chaque sou récolté par le défi Une moustache pour mon CH et ses activités est investi au service d’urologie du Centre hospitalier affilié universitaire régional (CHAUR) et permet de faire une grande différence pour la santé des hommes de chez nous qui peuvent bénéficier des meilleurs soins et d’équipements à la fine pointe de la technologie sans avoir à se déplacer vers les grands centres. Au cours des dernières années, près de 350 000 $ y ont été ainsi investis. (A.L.)